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L'utilisation de l’imagerie du mouvement dans l’étirement musculaire

(Document en Français)

Accès au(x) document(s)

Mémoire consultable sur internet, en texte intégral.Accéder au(x) document(s) :
  • https://aurore.unilim.fr/memoires/nxfile/default/99523a2f-eb1b-4d2e-bc92-322091efa3e2/blobholder:0/M-KINE-2019-008.pdf
Licence : Attribution-Pas d'Utilisation Commerciale-Pas de modification 3.0 France (CC BY-NC-ND 3.0 FR)

Informations sur les contributeurs

Auteur(s)
Borie Yoan
Année de soutenance
2019

Directeur(s)
Duzou François

Informations générales

Diplôme
Diplôme d'Etat de masseur kinésithérapeute
Composante
Université de Limoges. Institut limousin de formation aux métiers de la réadaptation

Thème(s)
Médecine et santé
Mots-clés
Appareil locomoteur -- Imagerie,
Extension (physiologie)
Description :

Introduction : L’imagerie motrice (IM) est un processus mental qui permet, entre autres, de procurer des sensations kinesthésiques, notamment celles de l’étirement musculaire. Elle a de nombreux effets psychologiques et physiologiques qui font d’elle un bon complément à d’autres techniques. A ce propos, le couplage avec l’étirement musculaire s’avère judicieux, puisque ces deux outils interviennent chacun à leur façon sur des mécanismes communs. Objectif : Observer l’impact de l’IM sur l’efficacité de deux méthodes d’étirements couramment utilisées en kinésithérapie : un étirement passif court et un étirement activopassif, le Contracter-Relâcher-Etirer (CRE). Méthode : Sur 108 volontaires, 55 sujets ont été inclus (âge moyen 21,9 ± 2,2 ans et 41,8% d’hommes). Leur laxité a été évaluée par un score de Beighton et leur vivacité d’IM par un KVIQ-10. Ils ont réalisé 4 conditions d’auto-étirement du triceps sural (TS) : passif et CRE, avec et sans IM. Le critère de jugement principal était l’amplitude articulaire maximale (AAM). Secondairement, la pénibilité, les difficultés de compréhension et de réalisation, ainsi que la qualité d’imagerie produite ont été recueillies. Une électromyographie de surface (EMGs) du tibial antérieur (TA) a permis de vérifier la passivité. Résultats : Il n’y a pas eu de différences significatives ni entre les types d’étirements, ni avec la présence ou non d’IM. Malgré cela, l’utilisation de l’imagerie semble être positive car les sujets ont indiqué un bonne compréhension et perception de celle-ci. Conclusion : Dans nos conditions expérimentales, l’utilisation de l’IM n’a pas apporté le gain attendu. Elle reste tout de même pertinente sur d’autres plans que celui de la performance. Cette étude constitue l’un des premiers pas dans la recherche de l’utilisation de l’imagerie avec les étirements.

Informations techniques

Informations complémentaires

Entrepôt d'origine
Ressource locale
Identifiant
unilim-ori-109911
Identifiant Sudoc info : Riche d\u0027environ 10 millions de références bibliographiques (monographies, thèses, publications en série et autres types de documents), le catalogue Sudoc permet de localiser les documents possédés par les bibliothèques des universités françaises et autres établissements de l\u0027enseignement supérieur et de la recherche participant au réseau Sudoc. S\u0027y ajoute le recensement des collections de publications en série d\u0027environ 2400 autres centres documentaires français.
242262627
Identifiant Unilim
M-KINE-2019-008

Pour citer ce document

Borie Yoan, L'utilisation de l’imagerie du mouvement dans l’étirement musculaire, Mémoire, Limoges, Université de Limoges, 2019. Disponible sur https://aurore.unilim.fr/ori-oai-search/notice/view/unilim-ori-109911