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«Est-il possible de vivre après avoir perdu son coeur ?» : Faire face à la mort d’un enfant au XVIIe siècle : consolations et deuils parentaux

(Document en Français)

Accès au(x) document(s)

Mémoire consultable sur internet, en texte intégral.Accéder au(x) document(s) :
  • https://aurore.unilim.fr/memoires/nxfile/default/e4d33e0c-bbba-42c9-9b83-f0bfaf50c55a/blobholder:0/M-LMSH12-2022-002.pdf
Licence : Attribution-Pas d'Utilisation Commerciale-Pas de modification 3.0 France (CC BY-NC-ND 3.0 FR)

Informations sur les contributeurs

Auteur(s)
Fressignac Emie
Année de soutenance
2022

Directeur(s)
Burkardt Albrecht

Informations générales

Diplôme
Master - 2ème année
Mention
Sciences Sociales
Parcours-type
Histoire : Pouvoirs, Sociétés, Territoires
Composante
Université de Limoges. Faculté des lettres et sciences humaines

Thème(s)
Géographie et histoire
Mots-clés
Consolation,
Souffrance,
Littérature religieuse française
Description :

Le deuil d’un enfant est l’une des thématiques abordées dans les traités et les lettres de consolation imprimées du XVIIe siècle. Ce travail a pour objectif d’analyser de près comment cette affliction, décrite comme l’une des plus terribles qui soient, est traitée dans cette littérature. Le genre consolatoire s’inscrit dans une longue tradition, et le deuil d’un enfant y est présent dès le premier texte de ce type, le traité de Crantor de Soles, rédigé au début du IIIe siècle avant Jésus-Christ. Au XVIIe siècle, les ouvrages de ce genre ne traitent pas seulement du décès de l’enfant en bas-âge, mais également de la consolation adressée aux parents d’enfants plus âgés. Tandis que les traités abordent principalement le premier cas de figure, les lettres de consolation, circulant dans un milieu social dominant, concernent surtout le second : elles témoignent ainsi d’une adaptation des sources aux cas traités. Produits dans le contexte spirituel des réformes, les deux types de sources témoignent autant de l’attachement porté à l’enfant au XVIIe siècle que de la complexité du rapport au deuil et à son expression dans une perspective de bienséance morale et chrétienne. Ce mémoire se veut également être une ouverture à l’exploration à d’autres types de sources, sans doute moins traditionnelles et normées, témoignant du besoin de réconfort des parents face au décès de leurs enfants : les sources mémorielles comprenant les écrits du for privé (livres de raison, mémoires), les représentations iconographiques (portraits d’enfants morts et de famille) et les sources funéraires (épitaphes et poème).

Informations techniques

Format
Document PDF

Informations complémentaires

Entrepôt d'origine
Ressource locale
Identifiant
unilim-ori-120787
Identifiant Sudoc info : Riche d\u0027environ 10 millions de références bibliographiques (monographies, thèses, publications en série et autres types de documents), le catalogue Sudoc permet de localiser les documents possédés par les bibliothèques des universités françaises et autres établissements de l\u0027enseignement supérieur et de la recherche participant au réseau Sudoc. S\u0027y ajoute le recensement des collections de publications en série d\u0027environ 2400 autres centres documentaires français.
265793920
Identifiant Unilim
M-LMSH12-2022-002

Pour citer ce document

Fressignac Emie, «Est-il possible de vivre après avoir perdu son coeur ?» : Faire face à la mort d’un enfant au XVIIe siècle : consolations et deuils parentaux, Mémoire, Limoges, Université de Limoges, 2022. Disponible sur https://aurore.unilim.fr/ori-oai-search/notice/view/unilim-ori-120787