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Immunosuppresseurs et néphropathie chronique d'allogreffe

(Document en Français)

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Modalités de diffusion de la thèse :
  • Thèse consultable sur internet, en texte intégral.
  • Accéder au(x) document(s) :
    • https://cdn.unilim.fr/files/theses-exercice/P20083339.pdf
    Ce document est protégé en vertu du Code de la Propriété Intellectuelle.

Informations sur les contributeurs

Auteur
Mérindol Virginie de
Date de soutenance
2008

Directeur(s) de thèse
Essig Marie

Etablissement de soutenance
Limoges

Informations générales

Discipline
Pharmacie
Classification
Médecine et santé

Mots-clés
Rein -- Transplantation - Thèses et écrits académiques,
Rein -- Maladies - Thèses et écrits académiques,
Immunosuppresseurs - Thèses et écrits académiques,
Phénotype - Thèses et écrits académiques
Résumé :

La transplantation rénale est la greffe d’organe la plus fréquemment réalisée. Alors que la survie du greffon à court terme a fortement été améliorée grâce, entre autre, à une meilleure connaissance des mécanismes immunologiques et à l’amélioration des traitements immunosuppresseurs, la survie à long terme du greffon et du patient pose encore un véritable problème. Seulement 36% des greffons et 58% des patients survivent 10 ans après la greffe. Rapidement après la transplantation, le greffon rénal est le siège d’une forme particulière de maladie rénale appelée néphropathie chronique d’allogreffe (NCA) qui est responsable d’une détérioration progressive de la fonction rénale. La NCA est un facteur pronostic majeur de la perte du greffon à long terme et est devenue l’un des problèmes majeurs de la transplantation. Les études menées sur les biopsies rénales ont apportés la preuve que les traitements immunosuppresseurs mis en place après la greffe pour éviter les épisodes de rejet jouaient un rôle majeur dans le développement et la progression de la NCA. Parmi ces traitements, les principaux incriminés sont les inhibiteurs de la calcineurine (ciclosporine et tacrolimus) car ils présentent tous les deux une importante toxicité rénale et conduisent à l’apparition de lésions histologiques similaires à celles observées au cours de la NCA. Ces lésions sont liées à des changements phénotypiques des cellules rénales qui modifient leur réponse à des situations particulière comme la réduction néphronique faisant suite à la transplantation.

Informations techniques

Type de contenu
Text
Format
PDF

Informations complémentaires

Entrepôt d'origine
Ressource locale
Identifiant
unilim-ori-50376
Numéro national
2008LIMO3339

Pour citer cette thèse

Mérindol Virginie de, Immunosuppresseurs et néphropathie chronique d'allogreffe, thèse d'exercice, Limoges, Université de Limoges, 2008. Disponible sur https://aurore.unilim.fr/ori-oai-search/notice/view/unilim-ori-50376