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Paralysie faciale périphérique de l’enfant et maladie de Lyme, une étude rétrospective sur 10 ans

(Document en Français)

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Modalités de diffusion de la thèse :
  • Thèse consultable sur internet, en texte intégral.
  • Accéder au(x) document(s) :
    • https://cdn.unilim.fr/files/theses-exercice/M20193179.pdf
    Ce document est protégé en vertu du Code de la Propriété Intellectuelle.

Informations sur les contributeurs

Auteur
Laspougeas Alban
Date de soutenance
25-10-2019

Directeur(s) de thèse
Dallocchio Aymeric

Etablissement de soutenance
Limoges

Informations générales

Discipline
Médecine générale
Classification
Médecine et santé

Mots-clés
Lyme, Maladie de - Chez l'enfant - Thèses et écrits académiques,
Neuroborréliose de Lyme - Dissertation universitaire,
Face - Paralysie - Thèses et écrits académiques,
Corticothérapie - Thèses et écrits académiques
Résumé :

Dans la paralysie faciale périphérique de l’enfant la neuroborréliose de Lyme a un rôle important. Le Limousin est la première zone endémique de la maladie en France. Dans ce contexte le pôle pédiatrique du CHU de Limoges a mis en place un protocole standardisé de prise en charge des paralysies faciales périphériques de l’enfant avec une ponction lombaire systématique. Avec ces données nous avons réalisé une étude rétrospective de cohorte sur 10 ans. Le but de l’étude était d’évaluer l’apport diagnostic de la sérologie de Lyme en IgG sur cette population de patients. Elle s’est intéressée également aux facteurs prédictifs diagnostiques du neurolyme et à l’intérêt de la corticothérapie dans la paralysie faciale périphérique de l’enfant. L’étude a montré que la sérologie de Lyme en IgG constitue un bon apport diagnostique puisque 100% des patients présentant une neurolyme avaient une sérologie en IgG positive. Elle présente une excellente sensibilité (100% (76,84% - 100%)) et une excellente valeur prédictive négative. La prévalence du Neurolyme était évaluée à 19,7% dans notre population. Deux facteurs d’orientation diagnostique identifiés étaient : l’antécédent de morsure de tique dans les 2 mois et la provenance des patients de zone d’incidence élevée pour la maladie. La corticothérapie ne montre aucun bénéfice dans la prise en charge des paralysies faciales périphériques de l’enfant dans notre étude. Ces résultats peuvent être inclus dans les démarches diagnostiques et permettraient de réévaluer la prise en charge de cette pathologie dans les zones endémiques de la maladie.

Informations techniques

Type de contenu
Text
Format
PDF

Informations complémentaires

Entrepôt d'origine
Ressource locale
Identifiant
unilim-ori-108927
Numéro national
2019LIMO3179

Pour citer cette thèse

Laspougeas Alban, Paralysie faciale périphérique de l’enfant et maladie de Lyme, une étude rétrospective sur 10 ans, thèse d'exercice, Limoges, Université de Limoges, 2019. Disponible sur https://aurore.unilim.fr/ori-oai-search/notice/view/unilim-ori-108927