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Etude de l’auto-prescription chez les internes de médecine générale à Limoges en 2016

(Document en Français)

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Modalités de diffusion de la thèse :
  • Thèse consultable sur internet, en texte intégral.
  • Accéder au(x) document(s) :
    • https://cdn.unilim.fr/files/theses-exercice/M20193189.pdf
    Ce document est protégé en vertu du Code de la Propriété Intellectuelle.

Informations sur les contributeurs

Auteur
Lachartre Alexandre
Date de soutenance
20-11-2019

Directeur(s) de thèse
Denis Rudelle Karen

Etablissement de soutenance
Limoges

Informations générales

Discipline
Médecine générale
Classification
Médecine et santé

Mots-clés
Internes (médecine),
Médecine générale,
Ordonnances médicales,
Automédication
Résumé :

Introduction : L’auto-prescription peut se définir par le fait qu’un médecin se prescrive un traitement à lui-même. C’est une pratique courante chez les médecins généralistes en France. L’objectif principal de ce travail est d’évaluer l’importance de cette pratique chez les internes de médecine générale à Limoges en 2016. Méthode : étude épidémiologique descriptive observationnelle transversale par un questionnaire anonyme diffusé par e-mail via la scolarité aux 179 internes de médecine générale inscrits en DES 1, DES 2 et DES 3 en 2016. Résultats : 86 internes ont répondu. 91,9% des internes avaient déjà eu recours à l’auto-prescription depuis le début de leur internat. 79,7% s’était prescrit un traitement dans les 6 derniers mois. Les principales classes auto-prescrites étaient les antalgiques de palier 1 ou 2 (88,6%), les AINS (53,1%), les antibiotiques (37,9%) et la contraception (63% des femmes). Ils avaient recours à l’auto-prescription pour des pathologies bénignes (79,7%) ou pour le renouvellement d’un traitement (38%). Ils étaient 87,3% à ne pas éprouver le besoin de consulter par aisance diagnostique ou thérapeutique. Discussion : Ils avaient recours à l’auto-prescription dès le début de leur internat. Leur attitude thérapeutique était en faveur d’une pratique raisonnée. Le ressenti de la pathologie était le principal facteur influençant leurs auto-prescriptions, ce qui interrogeait sur l’objectivité thérapeutique. Conclusion : L’auto-prescription était une pratique courante chez les internes de Médecine Générale à Limoges en 2016. C’était un accès aux soins privilégié. Un travail de prévention et d’information serait envisageable pour prévenir les risques inhérents à cette pratique.

Informations techniques

Type de contenu
Text
Format
PDF

Informations complémentaires

Entrepôt d'origine
Ressource locale
Identifiant
unilim-ori-109047
Numéro national
2019LIMO3188

Pour citer cette thèse

Lachartre Alexandre, Etude de l’auto-prescription chez les internes de médecine générale à Limoges en 2016, thèse d'exercice, Limoges, Université de Limoges, 2019. Disponible sur https://aurore.unilim.fr/ori-oai-search/notice/view/unilim-ori-109047