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Prise en charge du cancer épithélial de l’ovaire au stade avancé : résultats d’une enquête nationale française sur les pratiques médicales et chirurgicales en 2021

(Document en Français)

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Modalités de diffusion de la thèse :
  • Thèse soumise à l'embargo de l'auteur : embargo illimité (accès réservé à la communauté universitaire de Limoges)
  • Accéder au(x) document(s) :
    • https://cdn-private.unilim.fr/files/theses-exercice/M20213151.pdf
    Ce document est protégé en vertu du Code de la Propriété Intellectuelle.

Informations sur les contributeurs

Auteur
Drouin Léonor
Date de soutenance
17-09-2021

Directeur(s) de thèse
Deluche Mouricout Elise

Etablissement de soutenance
Limoges

Informations générales

Discipline
Gynécologie médicale
Classification
Médecine et santé

Mots-clés
Ovaire - Cancer,
Épithélioma,
Cancérologie,
Gynécologie,
Oncologie médicale
Résumé :

Introduction : L'objectif de cette étude était d'évaluer les pratiques françaises actuelles en terme de prise en charge des patientes atteintes d'un cancer épithélial de l'ovaire (COE) avancé. Méthodes : Une enquête de 58 items a été envoyée de manière anonyme aux membres de la SFOG, et des groupes GINECO-ARCAGY et FRANCOGYN. Elle interrogeait les professionnels sur le bilan diagnostique et d’extension, les données d’anatomopathologie, les données chirurgicales, les traitements médicaux et les stratégies de suivi. Résultats : Un total de 107 participants a répondu à notre questionnaire. La plupart d'entre eux étaient des gynécologues- obstétriciens (37,4 %), des chirurgiens oncologues (34,6 %) et des oncologues médicaux (17,8 %). D’après la majorité des participants (76,8%), moins de 50% des patientes sont éligibles à une chirurgie primaire de cytoréduction. Les critères de l'étude LION ont été appliqués dans 69,5% des cas pendant la chirurgie de cytoréduction primaire mais aussi dans 39% des cas après chimiothérapie néoadjuvante. Le délai de réalisation du test BRCA est très hétérogène et varie de 1 à 6 mois. Le bevacizumab en adjuvant est moins utilisé en l'absence de maladie résiduelle (pour 54,5% des répondants) qu'en cas de maladie résiduelle (pour 63,6% des répondants). En cas de mutations BRCA1-2, l'Olaparib est prescrit par 75,8% à 84,8% des répondants, alors que le niraparib est donné en cas d'absence de mutation BRCA. Conclusion : Cette étude permet de faire le point sur les pratiques françaises actuelles dans la prise en charge des patientes atteintes d'un cancer épithélial de l'ovaire avancé en 2021.

Informations techniques

Type de contenu
Text
Format
PDF

Informations complémentaires

Entrepôt d'origine
Ressource locale
Identifiant
unilim-ori-116830
Numéro national
2021LIMO3151

Pour citer cette thèse

Drouin Léonor, Prise en charge du cancer épithélial de l’ovaire au stade avancé : résultats d’une enquête nationale française sur les pratiques médicales et chirurgicales en 2021, thèse d'exercice, Limoges, Université de Limoges, 2021. Disponible sur https://aurore.unilim.fr/ori-oai-search/notice/view/unilim-ori-116830