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Les conséquences de l’accouchement sur la pratique d’activité physique et sportive : étude quantitative réalisée en Haute-Vienne

(Document en Français)

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Modalités de diffusion de la thèse :
  • Thèse consultable sur internet, en texte intégral.
  • Accéder au(x) document(s) :
    • https://cdn.unilim.fr/files/theses-exercice/M20213171.pdf
    Ce document est protégé en vertu du Code de la Propriété Intellectuelle.

Informations sur les contributeurs

Auteur
Grimoin Marjolaine
Date de soutenance
08-10-2021

Directeur(s) de thèse
Sève Léa

Etablissement de soutenance
Limoges

Informations générales

Discipline
Médecine générale
Classification
Médecine et santé

Mots-clés
Accouchement,
Puerpéralité,
Exercices physiques
Résumé :

Introduction - La pratique d’une activité physique et sportive (APS) est en enjeu de santé publique. Les bénéfices ne sont plus à démontrer. Le post-partum est une période de bouleversement physique, psychique et familial. La pratique d’une APS chez la femme jeune est en baisse par rapport aux autres tranches d’âge. Méthode - Nous avons réalisé une étude quantitative descriptive monocentrique basée sur la diffusion d’un questionnaire incluant des femmes ayant accouché entre 3 et 12 mois auparavant, en Haute-Vienne. Le recrutement s’est fait dans les crèches et les cabinets médicaux. L’objectif principal était de connaitre l’impact de l’accouchement sur la pratique de l’APS en post-partum. Résultats - 65% des répondantes pratiquaient une APS avant la grossesse. 33% la pratiquent pendant la grossesse et 46% en post-partum. L’accouchement n’a pas d’impact sur la pratique d’une APS en post-partum (p<0.001). La femme qui pratique une APS pendant la grossesse la poursuivra en post-partum (p<0.001). Cependant, la durée passée à l’exercer diminue : avant la grossesse, environ 22% en faisait plus de 2h30 par semaine, en post-partum elles sont moins de 13%. Les « cadres et professions intellectuelles supérieures » pratiquent d’avantage d’APS que les « employés » (p=0.005). Les principaux freins médicaux sont la fatigue et l’allaitement maternel. Les freins organisationnels sont le manque de temps et de motivation. Conclusion – Les femmes faisant une APS avant la grossesse la poursuivent après l’accouchement. Comme pour les maladies chroniques, un programme d’activité physique adaptée (APA) pourrait améliorer la pratique de l’APS en post-partum.

Informations techniques

Type de contenu
Text
Format
PDF

Informations complémentaires

Entrepôt d'origine
Ressource locale
Identifiant
unilim-ori-116928
Numéro national
2021LIMO3171

Pour citer cette thèse

Grimoin Marjolaine, Les conséquences de l’accouchement sur la pratique d’activité physique et sportive : étude quantitative réalisée en Haute-Vienne, thèse d'exercice, Limoges, Université de Limoges, 2021. Disponible sur https://aurore.unilim.fr/ori-oai-search/notice/view/unilim-ori-116928