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« Et si le préservatif n’était pas le seul moyen de contraception disponible chez l’homme ? » : étude de pratique des médecins généralistes du Limousin

(Document en Français)

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Modalités de diffusion de la thèse :
  • Thèse consultable sur internet, en texte intégral.
  • Accéder au(x) document(s) :
    • https://cdn.unilim.fr/files/theses-exercice/M20233115.pdf
    Ce document est protégé en vertu du Code de la Propriété Intellectuelle.

Informations sur les contributeurs

Auteur
Rey Pauline
Date de soutenance
28-04-2023

Directeur(s) de thèse
Houdard Gaëtan

Etablissement de soutenance
Limoges

Informations générales

Discipline
Médecine générale
Classification
Médecine et santé

Mots-clés
Contraception masculine,
Médecins généralistes - Limousin (France)
Résumé :

Introduction : Une implication plus active des hommes en matière de contraception masculine permettrait de partager la responsabilité de la contraception de couple. Des méthodes variées existent depuis plusieurs années mais sont parfois encore controversées. Le médecin généraliste a une place essentielle dans l’information et la prescription de ces dispositifs. Matériels et méthodes : L’objectif principal de notre étude était d’identifier les pratiques des médecins généralistes du Limousin concernant la contraception masculine en termes d’intérêt, d’abord avec le patient et de prescription. Nous avons mené une étude quantitative descriptive observationnelle multicentrique par le biais de questionnaires anonymes informatisés entre février et août 2022. Résultats : Nous avons obtenu 222 réponses au questionnaire soit un taux de réponses de 34,63 %. La majorité des participants (81,5 %) est réellement intéressée par la contraception masculine. 72 % des médecins ont déjà prescrit des préservatifs et 68 % ont déjà conseillé la vasectomie à leurs patient-e-s. En revanche, les médecins prescrivent peu la contraception masculine hormonale (0,9 %) et la contraception thermique (8,5 %). Ils connaissent également peu l’Andro-SwitchR (6,7 %). La majorité des participants (78 %) a abordé au moins une fois par an le sujet de la contraception masculine avec leurs patient-e-s. Conclusion : Cette étude montre l’intérêt des médecins généralistes pour la contraception masculine. Néanmoins, les nouvelles méthodes restent encore peu connues et peu prescrites. Cela pourrait être lié au manque de sensibilisation à cette pratique et à l’absence de demande provenant des couples.

Informations techniques

Type de contenu
Text
Format
PDF

Informations complémentaires

Entrepôt d'origine
Ressource locale
Identifiant
unilim-ori-123446
Numéro national
2023LIMO3115

Pour citer cette thèse

Rey Pauline, « Et si le préservatif n’était pas le seul moyen de contraception disponible chez l’homme ? » : étude de pratique des médecins généralistes du Limousin, thèse d'exercice, Limoges, Université de Limoges, 2023. Disponible sur https://aurore.unilim.fr/ori-oai-search/notice/view/unilim-ori-123446