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Etude in vitro des effets génotoxiques des radiofréquences de type GSM-900

(Document en Français)

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Modalités de diffusion de la thèse :
  • Thèse consultable sur internet, en texte intégral.
  • Accéder au(x) document(s) :
    • https://cdn.unilim.fr/files/theses-doctorat/2010LIMO310G.pdf
    Ce document est protégé en vertu du Code de la Propriété Intellectuelle.

Informations sur les contributeurs

Auteur
Bourthoumieu Sylvie
Date de soutenance
14-09-2010

Directeur(s) de thèse
Yardin Catherine
Président du jury
STURTZ Franck
Rapporteurs
LAGROYE Isabelle - MIR Lluis M
Membres du jury
LEVEQUE Philippe - PERRIN Anne - YARDIN Catherine

Laboratoire
Homéostasie Cellulaire et Pathologies - EA 3842
Ecole doctorale
École doctorale Biologie-santé - Bio-santé (Limoges ; 2009-2017)
Etablissement de soutenance
Limoges

Informations générales

Discipline
Biologie Sciences Santé
Classification
Sciences de la vie, biologie, biochimie,
Médecine et santé

Mots-clés libres
radiofréquences, protéines, communications sans fil, ADN, cellules (biologie), génotoxicité
Mots-clés
Radiofréquences - Thèses et écrits académiques,
GSM (radiotéléphonie) - Thèses et écrits académiques,
Toxicologie génétiqueToxicologie génétique -- Thèses et écrits académiques,
Cytogénétique - Thèses et écrits académiques,
Caryotypes - Thèses et écrits académiques
Résumé :

Le développement et l'augmentation constante des systèmes de télécommunication s'accompagnent de nombreuses questions, en particulier sur le risque sanitaire et oncogène des radiofréquences. La cancérogenèse est un processus multi-étape lié à l'accumulation d'anomalies génétiques dans des régions critiques du génome. Ces lésions génomiques sont généralement détectées et réparées par les cellules. Des erreurs ou défauts de réparation peuvent conduire à des instabilités génomiques pouvant initier un processus cancérogène. Notre travail a porté sur l'étude des effets génotoxiques des radiofréquences utilisées par la téléphonie mobile (GSM-900) sur des amniocytes humains. Les cellules ont été exposées in vitro pendant 24 heures à des ondes GSM-900 dans une cellule fil-plaque. La génotoxicité a été évaluée selon différentes approches (1) étude des remaniements chromosomiques et des aneuploïdies à l'aide du caryotype en bandes R (DAS moyen de 0,25 W/kg) et de la FISH (DAS moyens de 0,25 ; 1 ; 2 et 4 W/kg), (2) étude de l'expression et de l'activation de protéines impliquées dans les voies de signalisation des lésions de l'ADN telles que l'activation de p53 et H2AX par western blot (DAS moyens de 0,25 ; 1 ; 2 et 4 W/kg) et (3) étude de certaines réponses cellulaires aux lésions de l'ADN comme l'apoptose par détection du clivage de la caspase 3 par western blot (DAS moyens de 0,25 ; 1 ; 2 et 4 W/kg). Les résultats obtenus ne montrent pas d'effet génotoxique significatif des radiofréquences de type GSM-900 sur des amniocytes humains exposés pendant 24 heures quels que soient la méthode utilisée et le niveau de puissance testé. Ces résultats semblent en adéquation avec la majorité des études publiées dans la littérature.

Informations techniques

Type de contenu
Text
Format
PDF

Informations complémentaires

Entrepôt d'origine
Ressource locale
Identifiant
unilim-ori-27099
Numéro national
2010LIMO310G

Pour citer cette thèse

Bourthoumieu Sylvie, Etude in vitro des effets génotoxiques des radiofréquences de type GSM-900, thèse de doctorat, Limoges, Université de Limoges, 2010. Disponible sur https://aurore.unilim.fr/ori-oai-search/notice/view/unilim-ori-27099