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Les motifs fréquents de consultation gynécologique en médecine générale : pratiques, freins et difficultés

(Document en Français)

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Modalités de diffusion de la thèse :
  • Thèse consultable sur internet, en texte intégral.
  • Accéder au(x) document(s) :
    • https://cdn.unilim.fr/files/theses-exercice/M20093113.pdf
    Ce document est protégé en vertu du Code de la Propriété Intellectuelle.

Informations sur les contributeurs

Auteur
Charier Yann
Date de soutenance
03-06-2009

Directeur(s) de thèse
Raffi Fernand

Etablissement de soutenance
Limoges

Informations générales

Discipline
Anatomie et Cytologie Pathologiques
Classification
Médecine et santé

Mots-clés
Gynécologie - Thèses et écrits académiques,
Consultation médicale - Thèses et écrits académiques,
Médecins de famille - Dissertations universitaires
Résumé :

Sujet : Les médecins généralistes peuvent ressentir des difficultés dans la pratique de la gynécologie, avec pour effet une limite de leur pratique. Objectifs et méthodes : Cette étude s’intéresse aux difficultés rencontrées par les médecins généralistes de Corrèze dans la pratique courante de la gynécologie. Il s’agit d’une enquête réalisé auprès de 240 médecins entre le 15 Décembre 2007 et le 15 Mars 2008. Résultats : 160 réponses ont été reçues dont 158 exploitables (65,8%). Les répondeurs sont âgés (64,6% > à 50 ans), de sexe masculin (76,6%), avec un faible volume de consultations à motif gynécologique (86,1% < à 10 consultations par semaine). Les actes techniques sont les moins pratiqués (9,5% pour la pose de stérilet, 48,7% pour le retrait de stérilet, 8,9% pour la pose d’implant sous cutané, 13,3% pour le retrait d’implant) en dehors du frottis cervico-vaginal (77,8%). 79,1% des médecins interrogés suivent des grossesses, 96,8% prescrivent des contraceptions orales, 94,9% pratiquent la surveillance sénologique. Le frein principal à la réalisation des actes techniques est le manque de formation et/ou de pratique. Il en va de même pour les suivis de grossesses. Pour les frottis cervico-vaginaux, il ne se dégage pas d’élément principal identifiable. Conclusion : Les médecins généralistes ont un rôle important à jouer dans le suivi gynécologique des patientes. Pour ce faire, il importe d’insister sur la formation médicale initiale et continue (en particulier la partie pratique) et d’informer les patientes sur la capacité des médecins généralistes à réaliser un tel suivi. Il semble intéressant également de rappeler les cotations ainsi que les dispositions réglementaires inhérentes à ces actes.

Informations techniques

Type de contenu
Text
Format
PDF

Informations complémentaires

Entrepôt d'origine
Ressource locale
Identifiant
unilim-ori-33941
Numéro national
2009LIMO3113

Pour citer cette thèse

Charier Yann, Les motifs fréquents de consultation gynécologique en médecine générale : pratiques, freins et difficultés, thèse d'exercice, Limoges, Université de Limoges, 2009. Disponible sur https://aurore.unilim.fr/ori-oai-search/notice/view/unilim-ori-33941