Fiche descriptive


Enquête de pratique sur le dépistage de l'ostéoporose féminine en médecine générale

(Document en Français)

Thèse d'exercice

Accès au(x) document(s)

Modalités de diffusion de la thèse :
  • Thèse consultable sur internet, en texte intégral.
  • Accéder au(x) document(s) :
    • https://cdn.unilim.fr/files/theses-exercice/M20123138.pdf
    Ce document est protégé en vertu du Code de la Propriété Intellectuelle.

Informations sur les contributeurs

Auteur
Qidouch Hassan
Date de soutenance
17-10-2012

Directeur(s) de thèse
Bonnet Christine

Etablissement de soutenance
Limoges

Informations générales

Discipline
Médecine générale
Classification
Médecine et santé

Mots-clés
Ostéoporose - Dépistage - Thèses et écrits académiques,
Médecine générale - Thèses et écrits académiques
Résumé :

Objectif : L’ostéoporose est devenue un enjeu de santé publique en raison du nombre croissant des complications chez les femmes ostéoporotiques en termes de morbimortalité. Son dépistage s’est amélioré depuis le remboursement de l’ostéodensitométrie mais on constate que l’ostéoporose est encore sous-diagnostiquée. Méthode : C’est pourquoi une enquête rétrospective a été réalisée auprès des médecins généralistes (MG) de la Corrèze afin d’évaluer leurs connaissances sur les facteurs de risque d’ostéoporose et de chute, leur pratique en matière de recherche et consignation des facteurs de risque, le respect des recommandations quant à la prescription d’une ostéodensitométrie et d’un traitement. Résultats : 78 MG ont répondu au questionnaire qui leur avait été envoyé. Ils ont une bonne connaissance des facteurs de risque. 89 % d’entre eux recherchent souvent ou systématiquement les facteurs de risque d’ostéoporose, 100 % pour ceux de chute et ils ne sont que peu souvent consignés dans le dossier médical. 68 % des médecins ont respecté les indications de prescription d’une ostéodensitométrie selon les recommandations de la Haute Autorité de Santé. Ce chiffre est plus élevé pour les dossiers où figurent tous les facteurs de risque d’ostéoporose. 79 % des médecins ont respecté les recommandations de prescription d’un traitement toujours selon les mêmes recommandations. Conclusion : Les recommandations sont assez bien suivies par les MG de cette enquête mais des efforts restent à produire en France car 60 % des femmes ostéoporotiques ayant une fracture par fragilité reçoivent un traitement anti-ostéoporotique.

Informations techniques

Type de contenu
Text
Format
PDF

Informations complémentaires

Entrepôt d'origine
Ressource locale
Identifiant
unilim-ori-38047
Numéro national
2012LIMO3138

Pour citer cette thèse

Qidouch Hassan, Enquête de pratique sur le dépistage de l'ostéoporose féminine en médecine générale, thèse d'exercice, Limoges, Université de Limoges, 2012. Disponible sur https://aurore.unilim.fr/ori-oai-search/notice/view/unilim-ori-38047