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La vaccination contre les papillomavirus et le suivi gynécologique : une enquête par auto-questionnaire chez les médecins généralistes et leurs patientes en Limousin en 2011

(Document en Français)

Accès au(x) document(s)

Modalités de diffusion de la thèse :
  • Thèse consultable sur internet, en texte intégral.
  • Accéder au(x) document(s) :
    • https://cdn.unilim.fr/files/theses-exercice/M20123109.pdf
    Ce document est protégé en vertu du Code de la Propriété Intellectuelle.

Informations sur les contributeurs

Auteur
Gineste Girbet Elodie
Date de soutenance
05-06-2012

Directeur(s) de thèse
Gérard Pelaudeix Martine

Etablissement de soutenance
Limoges

Informations générales

Discipline
Médecine générale
Classification
Médecine et santé

Mots-clés
Papillomavirus - Vaccination - Thèses et écrits académiques,
Médecine générale - Thèses et écrits académiques,
Frottis vaginaux - Thèses et écrits académiques,
Col de l'utérus - Cancer - Thèses et écrits académiques
Résumé :

Introduction: L’incidence du cancer du col utérin est encore trop importante en France malgré un moyen de dépistage efficace (le frottis) et plus récemment, l’apparition de la vaccination contre les papillomavirus. Cette vaccination est un moment idéal pour le médecin généraliste de parler pour sexualité et suivi gynécologique avec leurs patientes. Notre étude a pour objectif d’étudier une éventuelle corrélation entre le fait pour un médecin généraliste de vacciner sa patiente contre les papillomavirus et le projet de réalisation d’un frottis par ce médecin chez cette patiente. Matériels et méthodes: Enquête par auto-questionnaires réalisée chez 100 médecins généralistes de Haute-Vienne du 9 au 21 mai 2011 et leurs patientes. Résultats: Cette étude a inclus 24 médecins et 90 patientes. Il en ressort une importante pratique gynécologique des médecins interrogés. 74% de ces médecins pensent que cette vaccination est un élément facilitateur pour aborder les questions notamment de contraception. Par contre, 73% des patientes ne souhaitent pas faire réaliser leur frottis par leur médecin traitant car elles préfèrent à 94% un gynécologue. L’hypothèse de départ n’est donc pas vérifiée. Il est à noter que seulement 41,5% des patientes connaissent le frottis comme moyen de dépistage du cancer du col de l’utérus. Discussion et conclusion: Devant la diminution de la population médicale globale, les médecins généralistes représentent la clé de voute de la prévention. Le suivi gynécologique par les médecins généralistes est essentiel. L’amélioration de l’éducation sexuelle scolaire est un axe également souhaitable.

Informations techniques

Type de contenu
Text
Format
PDF

Informations complémentaires

Entrepôt d'origine
Ressource locale
Identifiant
unilim-ori-38307
Numéro national
2012LIMO3109

Pour citer cette thèse

Gineste Girbet Elodie, La vaccination contre les papillomavirus et le suivi gynécologique : une enquête par auto-questionnaire chez les médecins généralistes et leurs patientes en Limousin en 2011, thèse d'exercice, Limoges, Université de Limoges, 2012. Disponible sur https://aurore.unilim.fr/ori-oai-search/notice/view/unilim-ori-38307