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Interface médecine générale/médecine interne dans la prise en charge de la sclérodermie

(Document en Français)

Accès au(x) document(s)

Modalités de diffusion de la thèse :
  • Thèse consultable sur internet, en texte intégral.
  • Accéder au(x) document(s) :
    • https://cdn.unilim.fr/files/theses-exercice/M20113112.pdf
    Ce document est protégé en vertu du Code de la Propriété Intellectuelle.

Informations sur les contributeurs

Auteur
Demazières-Tingaud Karine
Date de soutenance
30-03-2011

Directeur(s) de thèse
Fauchais Anne Laure

Etablissement de soutenance
Limoges

Informations générales

Discipline
Médecine générale
Classification
Médecine et santé

Mots-clés
Médecine générale - Thèses et écrits académiques,
Médecine interne - Thèses et écrits académiques,
Sclérodermie - Thèses et écrits académiques
Résumé :

Introduction. L’interface ville-hôpital est primordiale dans la gestion des maladies rares. Nous rapportons l’expérience d’un centre de compétence régional dans la prise en charge des patients atteints de sclérodermie systémique (ScS). Méthode. Un questionnaire papier anonyme a été adressé aux médecins généralistes (MG, n = 107) des 112 ScS d’un centre de compétences. Résultats. Le taux de réponse est de 39% (n=42). 39 (93%) dépistent les maladies auto-immunes. Le diagnostic de ScS a été posé (n=11) ou évoqué (n=25) avant la consultation interniste, motivée par le Raynaud (n=38), l’aspect cutané (n=27), des douleurs articulaires (n=23) ou une altération de l’état général (n=21). Le délai diagnostique (22±19 mois) est relié à leur méconnaissance de la ScS pour 29% des MG. Cependant, seuls 62% (n=26) se sont remis à niveau après le diagnostic et seuls 8 (19%) connaissent le Protocole National de Diagnostic et de Soins. L’information hospitalière est majoritairement jugée satisfaisante pour le diagnostic en général (67%), les moyens diagnostiques (74%) et le traitement (74%). Elle est moins bien évaluée pour le suivi (54%) et les complications (56%). Si l’information sur le handicap est jugée satisfaisante à 63%, celle sur la nécessité d’un reclassement professionnel ou d’une mise en invalidité ne satisfait que 44% des MG. La gestion d’une affection intercurrente reste problématique pour 19% des MG. 90% souhaitent un cahier de liaison ville-hôpital spécifique. Conclusion. Le généraliste reste le médecin de premier recours des patients ScS. Il nous apparaît nécessaire d’optimiser l’interface ville-hôpital par un dossier de suivi spécifique, adapté aux attentes des MG.

Informations techniques

Type de contenu
Text
Format
PDF

Informations complémentaires

Entrepôt d'origine
Ressource locale
Identifiant
unilim-ori-39187
Numéro national
2011LIMO3112

Pour citer cette thèse

Demazières-Tingaud Karine, Interface médecine générale/médecine interne dans la prise en charge de la sclérodermie, thèse d'exercice, Limoges, Université de Limoges, 2011. Disponible sur https://aurore.unilim.fr/ori-oai-search/notice/view/unilim-ori-39187