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Les facteurs de risque de chute de la personne âgée à domicile : étude descriptive

(Document en Français)

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Modalités de diffusion de la thèse :
  • Thèse consultable sur internet, en texte intégral.
  • Accéder au(x) document(s) :
    • https://cdn.unilim.fr/files/theses-exercice/M20153143.pdf
    Ce document est protégé en vertu du Code de la Propriété Intellectuelle.

Informations sur les contributeurs

Auteur
Pepy Pauline
Date de soutenance
13-10-2015

Directeur(s) de thèse
Lauchet Nadège

Etablissement de soutenance
Limoges

Informations générales

Discipline
Médecine générale
Classification
Médecine et santé

Mots-clés
Chutes chez la personne âgée - Thèses et écrits académiques,
Médecine générale - Thèses et écrits académiques
Résumé :

Introduction : En France, l’espérance de vie sans incapacité stagne ces dernières années. La chute est un des principaux modes d’entrée dans la dépendance. Souvent banalisée par les patients, la chute n’entraine pas un bilan systématique alors que le dépistage de ses facteurs de risque permettrait d’éviter les récidives et les complications. Objectif : L’objectif principal de cette étude est de déterminer quels sont les facteurs de risque les plus fréquemment retrouvés après la chute d’une personne âgée à domicile, par les médecins généralistes du Limousin. Méthodes : Une étude descriptive, observationnelle, rétrospective a été menée du 4 décembre 2014 au 4 février 2015, reposant sur un questionnaire envoyé par email à 384 médecins du Limousin. Résultats : 83 patients ont été inclus dans l’étude. 65% des chuteurs étaient des femmes. 91,5% des sujets cumulaient plus de 2 facteurs de risque de chute. Les 3 facteurs les plus représentés étaient la polymédication (81%), la dénutrition (61% des patients pour qui l’albuminémie était connue) et les déficits neurosensoriels non-corrigés (hypoacousie 60% et baisse de l’acuité visuelle 51%). Au second plan, nous avons retrouvé l’absence d’aménagement de l’habitat (54%), la consommation de psychotrope (53%), le syndrome dépressif (52%), les troubles cognitifs (39%) et l’hypotension orthostatique (31%). Conclusion : La chute doit être considérée comme un symptôme et non comme une fatalité liée au vieillissement. Processus multifactoriel, elle nécessite un bilan standardisé afin de réduire son impact socio-économique.

Informations techniques

Type de contenu
Text
Format
PDF

Informations complémentaires

Entrepôt d'origine
Ressource locale
Identifiant
unilim-ori-44725
Numéro national
2015LIMO3143

Pour citer cette thèse

Pepy Pauline, Les facteurs de risque de chute de la personne âgée à domicile : étude descriptive, thèse d'exercice, Limoges, Université de Limoges, 2015. Disponible sur https://aurore.unilim.fr/ori-oai-search/notice/view/unilim-ori-44725