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Les allergènes moléculaires : étude sur une population pédiatrique des tests siemens® des acariens, du chat et du chien

(Document en Français)

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Modalités de diffusion de la thèse :
  • Thèse consultable sur internet, en texte intégral.
  • Accéder au(x) document(s) :
    • https://cdn.unilim.fr/files/theses-exercice/P20103327.pdf
    Ce document est protégé en vertu du Code de la Propriété Intellectuelle.

Informations sur les contributeurs

Auteur
Jacomet Florence
Date de soutenance
13-10-2010

Directeur(s) de thèse
Evrard Bertrand

Etablissement de soutenance
Limoges

Informations générales

Discipline
Pharmacie
Classification
Médecine et santé

Mots-clés
Acariens allergisants - Thèses et écrits académiques,
Chat domestique - Allergénicité - Thèses et écrits académiques,
Chien - Allergénicité - Thèses et écrits académiques
Résumé :

Les pneumallergènes de l’environnement intérieur les plus fréquemment responsables d’allergie respiratoire sont les acariens, le chat et le chien. Jusqu’à présent le diagnostic utilisait principalement les extraits globaux (EG), mais récemment des allergènes moléculaires ont été développés. Dans une étude rétrospective (55 patients acarien, 25 patients chat-chien), nous avons testé les fractions allergéniques, natives purifiées, majeures des acariens (nDer p 1 et 2, nDer f 1 et 2), du chat nFel d 1 et du chien nCan f 1, ainsi que les allergènes mineurs des acariens nPen a 1, du chat nFel d 2 et du chien nCan f 3. Le but était de valider ces allergènes par rapport aux EG, d’élucider d’éventuelles réactions croisées et d’élaborer des stratégies d’indication de ces tests. La très bonne corrélation des allergènes majeurs des acariens, du chat et du chien vis-à-vis des EG (rho≈0.9), ainsi que les performances statistiques satisfaisantes des différents tests permettent leur validation. Mais du fait de réactions croisées, ils ne peuvent faire la différence entre une allergie exclusive à D1 ou à D2, ou entre une allergie au chat ou au chien. Pour les allergènes d’acariens, un seul de chaque famille est suffisant. Ces allergènes identifient différents spectrotypes, polysensibilisés ou monosensibilisés, et permettent potentiellement d’évaluer la sévérité clinique et de sélectionner les patients candidats à une ITS avec des allergènes moléculaires. La tropomyosine permet d’élucider certaines réactions croisées (en cas d’allergie alimentaire) à l’inverse de l’albumine. Comparer ces fractions aux allergènes recombinants et évaluer d’autres fractions allergéniques seraient intéressant.

Informations techniques

Type de contenu
Text
Format
PDF

Informations complémentaires

Entrepôt d'origine
Ressource locale
Identifiant
unilim-ori-47995
Numéro national
2010LIMO3327

Pour citer cette thèse

Jacomet Florence, Les allergènes moléculaires : étude sur une population pédiatrique des tests siemens® des acariens, du chat et du chien, thèse d'exercice, Limoges, Université de Limoges, 2010. Disponible sur https://aurore.unilim.fr/ori-oai-search/notice/view/unilim-ori-47995