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Micropropagation d'Atropa belladonna et de Mandragora officinarum : évaluation du développement sur différents milieux de culture et analyse de quelques marqueurs biologiques

(Document en Français)

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Modalités de diffusion de la thèse :
  • Thèse soumise à l'embargo de l'auteur : embargo illimité (accès réservé à la communauté universitaire de Limoges)
  • Accéder au(x) document(s) :
    • https://cdn-private.unilim.fr/files/theses-exercice/P20163347.pdf
    Ce document est protégé en vertu du Code de la Propriété Intellectuelle.

Informations sur les contributeurs

Auteur
Gallois Alexandre
Date de soutenance
16-11-2016

Directeur(s) de thèse
Labrousse Pascal

Etablissement de soutenance
Limoges

Informations générales

Discipline
Pharmacie
Classification
Médecine et santé

Mots-clés
Belladone - Thèses et écrits académiques,
Mandragores - Thèses et écrits académiques,
Atropine - Thèses et écrits académiques,
Scopolamine - Thèses et écrits académiques
Résumé :

La belladone et la mandragore ont été cultivées in vitro, sur le milieu de MS dans un premier temps avec douze équilibres de régulateurs hormonaux (6-benzyl aminopurine et acide 1- naphtalène acétique). Quelques marqueurs biologiques ont été dosés ; il s'agit des chlorophylles a, b et des caroténoïdes, des protéines totales, du potentiel osmotique et des alcaloïdes tropaniques (atropine et scopolamine). La deuxième phase de culture a consisté à cultiver la belladone sur les milieux 0/0 et 7,5/5 (BAP/ANA) et la mandragore sur le milieu de Murashige et Skoog (0,11 μM/0,89 μM). Lors de cette deuxième phase, les protéines, le potentiel osmotique et les alcaloïdes tropaniques ont été dosés dans la belladone. Dans la mandragore, seules l'atropine et la scopolamine ont été recherchées. Puisque, quel que soit l'équilibre en phytohormones, les cals ne se sont jamais différenciés. Les résultats obtenus, en CL-SM/SM, ont montré que chez la belladone, le milieu sans hormone était celui qui permettait d'obtenir les plus fortes concentrations en atropine et en scopolamine. Toutefois, ces valeurs restent bien inférieures à celles trouvées dans la littérature. La mandragore, quant à elle, n'a pratiquement pas produit de métabolites secondaires.

Informations techniques

Type de contenu
Text
Format
PDF

Informations complémentaires

Entrepôt d'origine
Ressource locale
Identifiant
unilim-ori-54149
Numéro national
2016LIMO3347

Pour citer cette thèse

Gallois Alexandre, Micropropagation d'Atropa belladonna et de Mandragora officinarum : évaluation du développement sur différents milieux de culture et analyse de quelques marqueurs biologiques, thèse d'exercice, Limoges, Université de Limoges, 2016. Disponible sur https://aurore.unilim.fr/ori-oai-search/notice/view/unilim-ori-54149