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Frottis avant 25 ans : pratique des médecins généralistes de la Haute-Vienne en 2017

(Document en Français)

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Modalités de diffusion de la thèse :
  • Thèse soumise à l'embargo de l'auteur : embargo illimité (accès réservé à la communauté universitaire de Limoges)
  • Accéder au(x) document(s) :
    • https://cdn-private.unilim.fr/files/theses-exercice/M20173181.pdf
    Ce document est protégé en vertu du Code de la Propriété Intellectuelle.

Informations sur les contributeurs

Auteur
Cussot Marion
Date de soutenance
21-09-2017

Directeur(s) de thèse
Caly Hugues

Etablissement de soutenance
Limoges

Informations générales

Discipline
Médecine générale
Classification
Médecine et santé

Mots-clés
Frottis vaginaux - Thèses et écrits académiques,
Col de l'utérus - Cancer - Dépistage - Thèses et écrits académiques,
Médecins généralistes - Thèses et écrits académiques
Résumé :

Objectif Evaluer le pourcentage de médecins généralistes de la Haute-Vienne qui réalisent des frottis cervico-utérins à des patientes de moins de 25 ans.Type d’étude Epidémiologique descriptive transversale. Méthodes Un questionnaire en ligne a été envoyé à 167 médecins généralistes en Haute-Vienne qui participent au dépistage du cancer du col de l’utérus en réalisant des frottis dans leur pratique. Les réponses ont été recueillies du 4 mars au 4 juin 2017. Résultats 106 médecins généralistes ont participé à notre étude (soit un taux de réponse de 64%) et 71% ont répondu qu’ils faisaient des frottis avant 25 ans. Parmi la population étudiée, 13 praticiens (12%) ont déclaré qu’ils débutaient toujours le dépistage avant 25 ans (39% se sont fixés une limite d’âge entre 20 et 24 ans et 61% commençaient un à deux ans après les premiers rapports sexuels). 62 médecins (58%) déclaraient qu’ils réalisaient parfois les frottis à des patientes de moins de 25 ans. L’âge précoce des premiers rapports sexuels, et le nombre de partenaires ont été les raisons les plus souvent citées pour justifier leur pratique. 19 médecins (18%) ont répondu qu’ils ne faisaient pas de frottis avant 25 ans, par application des recommandations, tandis que 12 praticiens (11%) n’avaient pas pour habitude de s’occuper du suivi gynécologique de jeunes patientes. Ils étaient 73% à manifester leur intérêt pour une formation sur le dépistage du cancer du col de l’utérus, et 97% des médecins interrogés étaient favorables à la vaccination en prévention primaire de ce cancer. Conclusion Les médecins généralistes de la Haute-Vienne ont une pratique hétérogène vis-à-vis de l’âge du premier frottis. Il parait fondamental d’expliciter les indications de la réalisation ou non de frottis aux patientes de moins de 25 ans.

Informations techniques

Type de contenu
Text
Format
PDF

Informations complémentaires

Entrepôt d'origine
Ressource locale
Identifiant
unilim-ori-78867
Numéro national
2017LIMO3181

Pour citer cette thèse

Cussot Marion, Frottis avant 25 ans : pratique des médecins généralistes de la Haute-Vienne en 2017, thèse d'exercice, Limoges, Université de Limoges, 2017. Disponible sur https://aurore.unilim.fr/ori-oai-search/notice/view/unilim-ori-78867