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Les inhibiteurs d’intégrase dans le traitement du Virus de l’Immunodéficience Humaine de type 1

(Document en Français)

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Modalités de diffusion de la thèse :
  • Thèse consultable sur internet, en texte intégral.
  • Accéder au(x) document(s) :
    • https://cdn.unilim.fr/files/theses-exercice/P20183308.pdf
    Ce document est protégé en vertu du Code de la Propriété Intellectuelle.

Informations sur les contributeurs

Auteur
Neel Sébastien
Date de soutenance
16-02-2018

Directeur(s) de thèse
Ranger-Rogez Sylvie

Etablissement de soutenance
Limoges

Informations générales

Discipline
Pharmacie
Classification
Médecine et santé

Mots-clés
Inhibiteurs de l'intégrase du VIH - Thèses et écrits académiques
Résumé :

Le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) découvert en 1983 résulte d’une transmission inter-espèce entre le singe et l’homme. Ce rétrovirus cible les cellules CD4+ dans lesquelles il intègre son ADN afin de se reproduire. Pour lutter contre ce virus, les inhibiteurs d’intégrase représentent depuis quelques années une nouvelle approche thérapeutique. Ils sont relativement bien tolérés sur le plan des effets indésirables et leur succès virologique est comparable voir supérieur aux classes précédentes. Actuellement, on dénombre deux classes d’inhibiteurs d’intégrase : les inhibiteurs de transfert de brin (INSTI) et les inhibiteurs d’intégrase de site non catalytique (NCINI) en développement. Les INSTIs agissent sur l’étape d’intégration en empêchant l’intégrase de transférer le brin d’ADN viral dans le génome de la cellule hôte. Le raltégravir (RAL) et l’elvitégravir (EVG) furent les premiers INSTIs de première génération à être commercialisés. Leur barrière génétique à la résistance faible obligeant à créer un INSTI de seconde génération : le dolutégravir (DTG). Actuellement, deux INSTI de seconde génération sont en essai clinique : le cabotégravir (CAB) et le bictégravir (BIC). Le CAB, présente une longue demi-vie, ce qui laisse envisager sa commercialisation sous forme injectable à libération prolongée. À ces deux molécules s’ajoute le premier NCINI en essai clinique : la molécule BI-224436. Cette classe inhibe l’intégrase de l’ADN viral en empêchant l’interaction entre l’intégrase et le facteur LEDGF/p75.

Informations techniques

Type de contenu
Text
Format
PDF

Informations complémentaires

Entrepôt d'origine
Ressource locale
Identifiant
unilim-ori-82084
Numéro national
2018LIMO3308

Pour citer cette thèse

Neel Sébastien, Les inhibiteurs d’intégrase dans le traitement du Virus de l’Immunodéficience Humaine de type 1, thèse d'exercice, Limoges, Université de Limoges, 2018. Disponible sur https://aurore.unilim.fr/ori-oai-search/notice/view/unilim-ori-82084