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Accidents peropératoires et postopératoires liés à l’utilisation de ciments à base de polyméthacrylate de méthyle dans l’arthroplastie de la hanche Lien permanent vers ce document

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La chirurgie prothétique de la hanche prend une dimension nouvelle lorsque Charnley, en 1961, introduit le polyméthacrylate de méthyle pour la fixation des prothèses. Mais après quelques années d'enthousiasme général pour le ciment, les premiers descellements prothétiques apparaissent, montrant ainsi les limites de la fixation par le ciment. Après deux chapitres de généralités consacrés à l'historique du ciment et à l'anatomie de la hanche, nous abordons les propriétés des ciments acryliques et les techniques de cimentation. Puis, nous faisons le point sur les accidents peropératoires et postopératoires immédiats et tardifs rencontrés lors des arthroplasties de la hanche. A la lumière des constatations cliniques et des études expérimentales, il ressort que les accidents sont peu nombreux et qu’ils ne sont pas tous imputables au ciment. Pour de nombreux chirurgiens, la prothèse de hanche type Charnley reste le « Gold Standard » du remplacement arthroplastique de la hanche chez les sujets âgés de plus de 60 ans. 85 % des implants sont encore en place après vingt ans. Créé par Denanot Leylde Charlotte 9 janv. 2018 Version 0.1
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