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Prévalence et incidence à deux ans de la tubulopathie proximale infraclinique (TPI) chez des patients mono-infectés par le virus de l’hépatite B chronique (VHB) traités par entécavir (ETV) ou ténofovir disoproxil (TDF)

(Document en Français)

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Modalités de diffusion de la thèse :
  • Thèse consultable sur internet, en texte intégral.
  • Accéder au(x) document(s) :
    • https://cdn.unilim.fr/files/theses-exercice/M20183135.pdf
    Ce document est protégé en vertu du Code de la Propriété Intellectuelle.

Informations sur les contributeurs

Auteur
Brayette Anaïs
Date de soutenance
14-09-2018

Directeur(s) de thèse
Loustaud-Ratti Véronique

Etablissement de soutenance
Limoges

Informations générales

Discipline
Gastro-entérologie et Hépatologie
Classification
Médecine et santé

Mots-clés
Hépatite B chronique - Dissertations universitaires,
Ténofovir - Thèses et écrits académiques,
Entecavir - Thèses et écrits académiques
Résumé :

Introduction : Le TDF est à risque potentiel de néphrotoxicité par tubulopathie contrairement à l’ETV. L’objectif principal de notre étude était de comparer, à l’aide de marqueurs précoces, la prévalence de la TPI à deux ans chez des patients traités (TDF ou ETV) versus naïfs. Méthodes : Etude prospective, multicentrique avec suivi sur deux ans de patients monoinfectés chroniquement par le VHB, naïfs ou débutant un traitement (ETV ou TDF). Le DFGe, la phosphatémie, la 25(OH)D3 et les marqueurs de TPI ont été recueillis trimestriellement. La TPI était définie par un seuil de réabsorption tubulaire du phosphate (TmPi/DFGe) inférieur à 0.8 mmol/L et/ou un taux d’excrétion fractionnelle de l’acide urique (EFAU) supérieur à 10%. Résultats : Parmi 196 patients analysables, 138 n’avaient pas de TPI à l’inclusion : 84 naïfs, 28 traités par ETV et 26 traités par TDF. A deux ans, aucun patient n’avait un DFGe inférieur à 50 mL/min ou une hypophosphatémie (< 0.48 mmol/L). La prévalence de la TPI à deux ans n’était statistiquement pas différente entre le groupe ETV vs Naïf (21.1% versus 30.7%, p=0.4172) et le groupe TDF vs Naïf (50% versus 30.7%, p=0.3167). L’incidence de la TPI au cours du suivi était respectivement de 13,3%, 25,5% et 52,9% dans le groupe ETV, Naïf, et TDF. La médiane de survie sans TPI, analysable uniquement dans le groupe TDF, était de 5.9 mois. Conclusion : La TPI semble plus fréquente chez les patients traités par TDF comparativement au groupe Naïf, bien que cette différence ne soit pas statistiquement significative.

Informations techniques

Type de contenu
Text
Format
PDF

Informations complémentaires

Entrepôt d'origine
Ressource locale
Identifiant
unilim-ori-102998
Numéro national
2018LIMO3135

Pour citer cette thèse

Brayette Anaïs, Prévalence et incidence à deux ans de la tubulopathie proximale infraclinique (TPI) chez des patients mono-infectés par le virus de l’hépatite B chronique (VHB) traités par entécavir (ETV) ou ténofovir disoproxil (TDF), thèse d'exercice, Limoges, Université de Limoges, 2018. Disponible sur https://aurore.unilim.fr/ori-oai-search/notice/view/unilim-ori-102998