Les freins au changement de technique de suture "un fil, un noeud" des sages-femmes et des gynécologues-obstétriciens du Limousin

Auteur(s)

Dulinskie Marion

Année de soutenance

2014

Directeur(s)

Le Pichoux Anne

Guidant(s)

Etifier Marie-Bernadette

Diplôme

Diplôme d'Etat de sage-femme

Composante

Hôpital du Cluzeau. Ecole de sages-femmes (Limoges)

Thème(s)

Médecine et santé

Mots-clés

épisiotomie -- Thèses et écrits académiques,

Sutures (chirurgie) -- Thèses et écrits académiques,

Sages-femmes -- Thèses et écrits académiques,

Nouveau-nés -- Complications -- Thèses et écrits académiques

L’étude met en évidence le fait qu’un nombre restreint de professionnels (15,2%) effectue la réparation de l’épisiotomie avec la technique du surjet continu, appelée plus communément technique « un fil, un nœud ». Cependant, le Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français (CNGOF) recommande la pratique de cette suture depuis 2005 au vu des avantages qu’elle représente, aussi bien pour la patiente que pour le professionnel. L’enquête, réalisée auprès des sages-femmes et des gynécologues-obstétriciens du Limousin, dans le cadre de ce mémoire, a permis de relever leur méconnaissance des Recommandations pour la Pratique Clinique (RPC), des supports d’informations communiqués par le service, ainsi que leurs motivations et leurs freins au changement de pratique et leur besoin de formation.