Les écrits intermédiaires et l’enjeu de l’oral en Histoire pour construire la pensée historienne des élèves

Auteur(s)

Couty Quentin

Année de soutenance

2025

Directeur(s)

Gomes Lucie

Diplôme

Master MEEF - 2ème année

Mention

Mention Second degré

Parcours-type

Professeur d'Histoire-Géographie

Composante

Ecole supérieure du professorat et de l'éducation de l'académie de Limoges

Thème(s)

Géographie et histoire

Mots-clés

Enseignement réflexif,

Histoire (discipline) -- Étude et enseignement (secondaire)

Ce travail cherche à étudier comment les écrits intermédiaires permettent aux élèves d’acquérir une méthode et pensée historienne. Ces types d’écrits sont que peu utilisés dans les cours d’Histoire du secondaire : pourtant, ils sont la base même du travail de l’historien. En effet, l’historien ne peut pas envisager la pluralité des temps ou la bonne compréhension de certains concepts historiques sans recourir à ces écrits à portée réflexive. A l’inverse, ils ne sont pas très présents dans les cours d’histoire alors que paradoxalement, les écrits intermédiaires sont essentiels pour les élèves pour structure leur pensée historique y compris à l’oral. Le dilemme est donc le suivant : qu’est-ce les écrits intermédiaires apportent aux élèves en classe d’Histoire ? Sont-ce bien utilisés par les élèves ? C’est toutes ces interrogations que soulèvent ce mémoire, en tentant d’y répondre.