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L'étude du biofilm de souches de Escherichia coli permet-elle de différencier les infections urinaires des bactériuries non pathologiques en pédiatrie ?

(Document en Français)

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Modalités de diffusion de la thèse :
  • Thèse consultable sur internet, en texte intégral.
  • Accéder au(x) document(s) :
    • https://cdn.unilim.fr/files/theses-exercice/M20163110.pdf
    Ce document est protégé en vertu du Code de la Propriété Intellectuelle.

Informations sur les contributeurs

Auteur
Fanthou Ludivine
Date de soutenance
13-05-2016

Directeur(s) de thèse
Garnier Fabien

Etablissement de soutenance
Limoges

Informations générales

Discipline
Pédiatrie
Classification
Médecine et santé

Mots-clés
Appareil urinaire -- Infections - Chez l'enfant - Thèses et écrits académiques,
Biofilms - Thèses et écrits académiques,
Escherichia coli - Thèses et écrits académiques,
Bactériurie - Thèses et écrits académiques
Résumé :

Introduction – Les infections urinaires (IU) sont fréquentes chez l’enfant. Elles sont à distinguer des bactériuries non pathologiques (BNP) ne nécessitant aucune thérapeutique. Escherichia coli, principal germe des IU, forme du biofilm dans la vessie. L’étude du biofilm des E. coli urinaires pédiatriques permet-elle de différencier les IU des BNP ? Méthode – L’inclusion prospective des souches urinaires pédiatriques de E. coli était réalisée au laboratoire du CHRU de Limoges, durant l’année 2015. Les cystites et les pyélonéphrites définissaient les IU. Les contaminations d’échantillon et les bactériuries asymptomatiques (BA) définissaient les BNP. La formation de biofilm était mesurée par coloration au crystal violet de cultures en microplaques et lecture de la densité optique à 570nm (DO570nm). Résultats – Quarante-huit souches de E. coli isolées d’IU (16 cystites et 42 pyélonéphrites) et 17 de BNP (13 contaminations et 4 BA) ont été incluses. Une seule souche ne produisait pas de biofilm et la majorité était de fortes productrices. La comparaison des DO570nm obtenues pour les IU et BNP ou pour les sous-groupes considérés, n’a pas permis de mettre en évidence de différence significative de formation de biofilm. De même, la production de biofilm ne différait pas de façon significative selon l’existence ou non d’un antécédent d’IU. Discussion – Notre étude prospective indique que la capacité des souches urinaires pédiatriques de E. coli à former du biofilm ne serait pas un bon critère pour différencier les IU des BNP. Une étude de grande taille, ainsi qu’un protocole standardisé testé sur plusieurs populations de souches, serait nécessaire pour confirmer ce résultat.

Informations techniques

Type de contenu
Text
Format
PDF

Informations complémentaires

Entrepôt d'origine
Ressource locale
Identifiant
unilim-ori-55091
Numéro national
2016LIMO3110

Pour citer cette thèse

Fanthou Ludivine, L'étude du biofilm de souches de Escherichia coli permet-elle de différencier les infections urinaires des bactériuries non pathologiques en pédiatrie ?, thèse d'exercice, Limoges, Université de Limoges, 2016. Disponible sur https://aurore.unilim.fr/ori-oai-search/notice/view/unilim-ori-55091